Bilbao, 2e jour : on passe de l'autre côté du fleuve pour rejoindre le nouveau quartier de El Ensanche, construit au XIXe siècle alors que la ville entre dans une phase de développe industriel après avoir été élue capitale de Biscaye. Bâtiments mêlant plusieurs styles architecturaux, sièges d'entreprises et de banques, grands parcs, musées et autres boutiques : l'Ensanche est devenu le centre commercial et financier de la ville.
L'hôtel de ville, construit à la fin du XIXe siècle sur l'emplacement de l'ancien couvent de San Agustín.
Gare La Concordia.
Le Teatro Campos Elíseos (théâtre des Champs-Elysées).
L'église du Sacré-Cœur, sur l'Alameda de Urquijo.
L'église de San Vicente, datant du XVIe siècle.
Le palais Ibaigane, siège officiel de l’Athletic Club.
Le Zubizuri, construit par Santiago Calatrava en 1997.
Le palais de la députation forale de Biscaye, siège du conseil provincial.
Le palais de Chávarri, sur la plaza Moyúa, siège du gouvernement civil.
L'église San José, non loin de la plaza Moyúa.
La maison Lezama, immeuble datant de 1922.
Clément, l'éléphant fleuri, à l'extérieur du Palais des congrès : une sculpture en hommage au Puppy de Koons.
L'une des nombreuses places qui donnent sur Grand Via, proche du parc de Doña Casilda de Iturrizar.
Place du Sagrado Corazón (Sacré-Cœur).
Les jardins du Sociedad Coral de Bilbao.
Le parc de Doña Casilda de Iturrizar.
Pour terminer, quelques clichés du musée Guggenheim. Il était interdit de prendre des photos à l'intérieur mais j'avoue que ça ne m'a pas trop gêné vu que le peu d'intérêt que j'ai trouvé à la visite. Alors, oui, il y a eu l'exposition (très succincte) consacrée à l'art pop avec des œuvres de Warhol, Basquiat ou encore Rauschenberg, mais à part ça, comme souvent avec l'art contemporain, je n'ai fait qu'osciller entre incompréhension et amusement. Résultat, je n'ai que les sculptures extérieures, histoire de dire "j'y étais" !
Vue de l'esplanade du musée sur l'université de Deusto.
Puppy de Jeff Koons.
Maman de Louise Bourgeois.
Tulips de Jeff Koons.
Arcos rojos de Daniel Buren.
Grand l'arbre et l’œil d'Anish Kapoor.
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